Si vous avez des enfants, la réponse est relativement simple… Quoi que ! Les parts de chacun·e ou la place des conjoint·es peuvent être un véritable casse-tête à démêler par soi-même (sans compter qu‘ il existe de plus des situations dans lesquelles la justice peut imposer d’écarter un individu de la succession). Mais en l’absence de descendance, la situation se corse. Conjoint ou conjointe, frères, sœurs, parents, cousins et cousines… À qui transmettrez vous vos biens ? Et connaissez-vous seulement ces personnes ?

La mission des généalogistes successoraux consiste à assister les notaires dans la recherche des héritiers et héritières, dans le cadre de ce genre de successions complexes. Et autant dire que les résultats sont parfois étonnants ! Si la plupart du temps, l’annonce d’un héritage venu d’un·e lointain·e parent·e inconnu·e est une bonne nouvelle, il m’est arrivé de voir des résolutions moins heureuses. Un jour, c’était une fratrie qui découvrait l’existence de leur sœur à son décès, sans jamais avoir pu la rencontrer. Une autre fois, la petite maison d’un musicien bohème qui vivait entouré d’ami·es à la campagne s’est retrouvée par le truchement de l’héritage propriété de ses lointaines cousines, toutes deux épouses de militaires hauts-gradés qui se sont empressés de la vendre à un promoteur immobilier…
Ce sont ces expériences qui me font dire aujourd’hui qu’il est toujours bon de comprendre sa propre succession, afin de pouvoir en disposer en connaissance de cause. Connaître et organiser la transmission de nos biens, c’est prendre soin de nos proches… Et pourquoi pas rencontrer les personnes qui, un jour, pourraient devenir les dépositaires des souvenirs de notre vie !

Pour cela, je vous propose avec Cadet Généalogie de faire le point sur la dimension humaine de votre succession, sous la forme d’un échange pour comprendre ensemble à qui reviendraient vos biens en l’absence de testament. À l’issue d’un entretien d’une heure, c’est vous qui décidez si vous souhaitez poursuivre la démarche en contactant vous-mêmes les personnes identifiées, en nous mandatant pour les retrouver et les rencontrer ou encore en prenant rendez-vous chez votre notaire.
Pour des raisons de déontologie, cet entretien n’abordera pas l’aspect pécuniaire de votre succession : nous considérons qu’il s’agit là d’une information confidentielle vous concernant, non pertinente pour nos missions d’information et de recherche.